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 La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus

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Darid
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MessageSujet: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyJeu 13 Oct à 21:18

ACTE I

CHAPITRE PREMIER :
Comment Jésus rencontra Joseph, et comment il s'interpellèrent.


Jésus courait nue dans la savane, il ne savait point qui il était et avait perdue raison.

Près d'une hutte, il trouva une tunique brodée. Il l'enfila, et un homme nommé Home s'approcha.

HOME : Hey ho ! C'que tu porte canaille...
JESUS : Cette tunique brodée ? Je l'ai trouvé !
HOME : Moi c'que j'vois...
JESUS (l'interrompant) : Ce que tu vois ! C'est un prophète dont tu es jaloux !
HOME : Non, c'que j'vois, c'est qu't'as ma tunique, mec !
JESUS : Mille excuses bonhomme, mais je suis à poil sans cela, mais soit...
Jésus se dévêtit et rendit la tunique au bon Home.
HOME : La prochaine fois, tu demandes ! Connard !
JESUS : Que Dieu te fasse vivre avec ta tunique jusqu'à ta mort !

Jésus ne savait pas pourquoi il s'était dit prophète, mais après avoir quitté Home, son but précis fut Jérusalem et cela sans raison affluante.

Dans sa foulé grandissante, Jésus vit une lueur. Les nuages firent fit et un homme apparut devant Jésus.

HOMME INCONNU : Salut
JESUS : Que diable es-tu ?
JOSEPH : Je suis Joseph ! Celui par qui ton sang sera recueilli
JESUS : Moi, c'est
JOSEPH (l'interrompant) : Ne dis rien, je sais de quel nom tu te nommes, ton avenir est mien.
JESUS : Super...prêtes moi un slip, je suis à poil.
JOSEPH : Oui, moi joseph, visionnaire, te prête mon unique slip. Excuses pour les taches, j'ai pas de ce que dans mes visions futures, on appellera le PQ.
JESUS : Ta nature est bonne Joseph, je suis reconnaissant envers ta bonté et je te dois beaucoup.
JOSEPH : Non, c'est un Top Budget !
JESUS : Ok, alors rien ne t'es due
JOSEPH : Exact, mais éclaires moi de tes lumières.
JESUS : Mes lumières ?
JOSEPH : Oui, parles que j'écrive un évangile.
JESUS : Un évangile ? Mais quel malheur te possède mon ami ? Ma futile vie n'est qu'obsolétisme et non sens.
JOSEPH : Ne dis plus, tes paroles seront connues.
JESUS : Et si je ne parle ?
JOSEPH : Tu ne peut point. Tu es l'élu. Ne soit pas refoulé aux portes de St-Pierre.
JESUS : Je ne parlerais point, la parole n'est qu'éphémère et ne perdure que lorsque autrui la transmet.
JOSEPH : Ton savoir sera noté, tu dois transmettre la pensée de Dieu, ton père. C'est lui qui m'envoie te guider.
JESUS : C'est pas mon père, mon père est...euh...
JOSEPH: Dieu!! Emboîtes ma jambée et suit ma jambée sur le chemin divin.

Jésus et Joseph, les deux compagnons s'en allèrent vers la dite "divine lumière", prononcée par Joseph
Arrivés dans une grotte obscure :

JOSEPH : Vé, Jésus, toi cela est. Vé les moutons et la vierge.
L'oeil du passé s'ouvre à toi, alors contemples !
JESUS : J'm'en fous !
JOSEPH : Quoi ,! Assumes ton futile et exaspérant passé, vois aussi ta destinée. La croix t'attend, alors contemple ta vie et transmet la parole du seigneur.
JESUS : Si le seigneur existerait, je pourrais, mais je ne croit point en Dieu, désolé Joseph.
JOSEPH : Mais tu es Jésus ! Fils de la lumière divine, grand saint prophète du ciel pur, enfant de Dieu !
JESUS : Vas-y ! Ta gueule !
JOSEPH : Quoi ?! Tu mérites bien la croix ! Tu es possédé par Satan ! Vas- t-en démon !
JESUS : Vieu fou, casses toi ou j't'e défonce, j'vais t'niquerta race sale pédale ! Enculé !
JOSEPH : Comment oses-tu ? Toi le fils de...
JESUS (l'interrompant) : Toi, le fils de pute casses toi j't'ais dis !
JOSEPH : Calmes toi !
JESUS : Non !
Jésus lui posa une droite et lui cala un steack dans le front.
JOSEPH (criant) : AHHAH !! Nous nous reverrons
Joseph saisit une poignée de poudre dans sa poche et en jeta, disparant dans un nuage de fumée.
JESUS : Enfin...

Jésus continua ainsi sa route vers Jérusalem. Cependant, il ne savait pas pourquoi il s'était enflamé envers le bon Joseph.


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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyJeu 13 Oct à 21:20

CHAPITRE SECOND :
Comment Jésus rencontra Judas et comment la trahison exalta.


Sur la route menant à Jérusalem, Jésus croisa un homme s’abreuvant dans un oasis.

JESUS : Salut ô homme inconnu de ma conscience
HOMME INCONNU : Salut ! (l’air ravi) Heureux de te voir !
JESUS : Qui es tu ? Moi c’est Jésus
JUDAS : Moi je suis Iscariote, Judas Iscariote ! Que fais tu dans ce désert ô Jésus ?
JESUS : Je me rend à Jésuralem, et toi ?
JUDAS : Jésuralem ? ! Jérusalem veux tu dire ?! Pour ma part, ma vie est ici : dans cet oasis
JESUS : N’as tu pas conscience de la nature du désert et de ses dangers, sa chaleur est rendeur de folie.
JUDAS : Hélas, depuis 10 ans, perdus dans le sable trompeur, je suis. Aucun passant si ce n’est toi le premier.
JESUS : Accompagnes moi, guiderais-je ta jambé vers ta nation, je ne puis dire. Mais je connais routes et chemins.
JUDAS : Merci, ton âme est courtoise
JESUS : T’as l’air usé, alors faut bien t’aider mon ami. Mais t’as des connaissances de ton destin ?
JUDAS : Nullement, je ne suis point oracle des sens inscrits.
JESUS : Que néni moi de même, mais dévoilée, ma destiné a été.
JUDAS : Comment ?! Que diable ! Es-tu un proche de Satan ?
JESUS : Ne penses pas le malin proche de moi. Un visionnaire fou nommé Joseph, à moi, me la transmise. Et toi...
JUDAS : Joseph? Point de tel nom je ne connais !
JESUS : Normal cela est, puisque personne sur ta route tu n’a croisé.
JUDAS : Oui, cela est d’une réalité impropre au jugement dernier
JESUS : Es tu fou ? Le jugement ? Joseph m’a conté le mien, enfin je le crois, mais que trop peu de mots ont été compris par ma personne inerte devant ses propos.
JUDAS : Où ce Joseph est-il? A cet homme technique, moi Judas, voudrais taper une discute.
JESUS : Hélas, sans nulle raison, je me suis emporté, je l’ai frappé, et lui ais callé un steack dans son front fertile. Ensuite, il a fuit et son unique slip, j’ai gardé.
JUDAS : ?... Qu’est-ce que c’t’histoire ? Point ce mot”slip”, moi n’ais compris.
JESUS : Le désert t’a rendu inculte, ô mon bon fou. Ne t’occupes point de cette histoire, elle est mienne.
JUDAS : Que tu a l’air sage et vaillant mon bon Jésus, abandonner son unique compagnon pour traverser le désert en solo, quelle preuve de courage !
JESUS : Point n’était-il mon compagnon. Mais toi, tu le deviens si tes souhaits sont tels.
JUDAS : Je te suis et te suivrais, mais quelle route emprunter ?
JESUS : Emboîtes ma jambé mon pote, la lueur divine de mon esprit guidera nos pas.
JUDAS: D’accord, si clair ton esprit est, alors désembrouillé le mien sera. Mais ?! Ô que ta jambé est grande, quel est cet intense secret ?
JESUS : Tu le sauras tôt ou tard. Mais as-tu de quoi me vêtir ? Cet unique slip est obsolète.
JUDAS : Oui, cette tunique est tienne.

Judas offrit une tunique à Jésus qui l’enfila. Tout en parlant d’un air désuet et ingrat, ils marchèrent, Jésus en tête de cette aventure potentiellement prolifique vers Jérusalem.

Arrivés devant un homme

JESUS : Vé, mon Judas, cet homme d’une attitude ostentatoire et d’un air doté d’une malformation cutanée, semble tenir une gourdasse dans sa main.
JUDAS : Oui compagnon, demandons lui l’hospitalité d’une boisson méritée. Celui-ci ne pourrait refuser, car cela serait péché.
JESUS : Péché?! Péché ?! ... Mais, d’où viens-tu avec ton air champêtre et bucolique , ô Judas. Pécher, cet homme n’en a que faire.
JUDAS : Essayons ! (s’adressant à l’homme difforme) : Ô individu mal formé, sans talent , avec une oreille dans le cou, peux-tu, à moi, offrir le breuvage que ta gourdasse porte ?
HOMME DIFFORME : Connard ! Tu vas voir c’est qui le mal formé ! Enfoiré !
L’homme lui jeta sa gourdasse dans l’orteil et partit à pas d’enjambements distants.
JUDAS : Quel malotru ! Mais au moins, sa gourdasse maintenant nous avons.
JESUS : Fais- moi boire...
Jésus saisit la gourdasse et la vida entièrement.
JUDAS : Trahison ! Trahison ! Le breuvage..., toi seul en a profité, fils de...
JESUS (l’interrompant) : De Dieu, Joseph me l’a déclaré. Tiens ! Jaloux !
JUDAS : Soyons sérieux, ô Jésus !
JESUS : Je m’excuse mais la liqueur savoureuse de ce breuvage a amplifiée ma joie interne.
JUDAS : Oh la chance ! Tu es grand ô Jésus, alors ta traîtrise sera pardonnée
JESUS : La traîtrise a envahit mon esprit par mes gardes, et la contrer je n’ais pu.
JUDAS : Ben excuses- toi au moins sale traître !
JESUS : Mes excuses te sont présentées.
JUDAS : Ne t’inquiète point, elles sont acceptées.

Judas et Jésus s’en allèrent de cette jambé vers la ville de Jérusalem.


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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyMer 19 Oct à 19:26

CHAPITRE TROISIEME :
Comment Jésus rencontra le marchant et comment il disserta avec Judas

JESUS : : Nous voici à Jérusalem ! (en entrant dans une grande ville)
JUDAS : Que la ville a changée depuis dix ans, ô mon bon Jésus.
JESUS : Cela ne m'étonne guère
JUDAS : Certes cette ville ressemble plus à Timaresonas il y a dix ans qu'à Jérusalem
JESUS : Peut-être, mais ce monde t'a été enlevé durant dix années, tes souvenirs sont inffluables
JUDAS : Que néni, mon brave. Ne juges point de mes souvenirs, de la sorte
JESUS : Arrêtes donc tes fabulations. Jugeons en connaissance de cause et que le St de la vérité nous accorde son impartiale clémence.
JUDAS : Tes paroles sont dotées d’une forte justesse. Hâtons-nous à cette difficile tâche, et que la vérité nous guide à travers cette ville.
JESUS : Tu as raison, demandons au brave gaillard qui marchande dans le secteur face à nous.
JUDAS : Je me hâtes de lui poser questions.

Jésus cala une jambée vers le marchand ambulant

MARCHAND : Que voulez-vous ? Ma marchandise n’est pas adressée à des barbus clochards comme vous ! Dégagez !
JESUS : Misérable, ne juges point l’Homme sur son physique qui n’est pas reflet de la vérité.
JUDAS : Tu nous prends pour qui chenapan ?!
MARCHAND : Pour des clodos, dégagez ! Timaresonas n’est pas une ville pour vous !
JESUS : Merci, nous avons réponses à nos recherches
Judas cala une droite au marchand
JUDAS : Et ne nous parles plus comme ça.
JESUS : Qu’est-ce donc que ces pseudos subtilités ne venant aucunement de la foi divine ?
JUDAS : Le seigneur a guidé mon bras. Le destin été écrit. Ce marot devait nous juger et mon poing le heurter.
JESUS : Si tu l’dis ! Mais le seigneur a-t-il voulut cet état pommé de notre esprit ?
JUDAS : Certes ! Soit ! Le seigneur dit, et nous agissons, point de questions ne doivent être posées ! Que nos jambées soient efficaces et que le gravier se dérobe sous son intense souffle de force.
JESUS : Ton savoir est-il fondé ? Le désert t’a donné foi, mon brave, pour ma part, le seigneur n’est point.
JUDAS : Quelles conneries dis-tu, ô Jésus ? La voix de Dieu nous guide !
JESUS : Alors pourquoi cette fameuse cité n’est-elle pas Jérusalem ?
JUDAS: Je ne puis le dire : Dieu seul le sait.
JESUS : Emboîtes ma jambée et suis moi, il faut se rendre à Jérusalem.
JUDAS: Ta jambée est trop pertinente, mais si ton destin est là-bas, allons y !
JESUS : Ma jambée t’intrigue je le sais, mais elle te sera transmise.
JUDAS : Tu es si bon Jésus
JESUS : En route mon ami !


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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyJeu 20 Oct à 19:35

CHAPITRE QUATRIEME :
Comment Jésus et Judas rencontrèrent St-Mattieu et comment la fuite ils prirent.

Continuant leurs routes, les deux compagnons firent halte dans une auberge: l’Auberge du Maroudeau.
Entrés dans l’auberge, un homme accouru vers eux :


HOMME INCONNU : Oh Jésus ! Jésus ! C’est bien toi ?
JESUS : Qui es-tu homme ? D’où connais-tu mon nom ?
St-Mattieu : C’est moi, Mattieu ! Ne fais pas semblant d’ignorer mon identité
JESUS : Mais je ne te connais point, ma jambé m’a guidée jusqu’ici par hasard, et jamais en ce lieu, je ne me souviens être venu.
ST-MATTIEU : Peut-être, mais nous nous connaissons de Jérusalem !
JUDAS : Nous ne y sommes point allés
JESUS : Judas dit vrai, es-tu fou ?
ST-MATTIEU : Par hasard, as-tu dis ? Ne possèdes donc tu plus la fois ? Le seigneur a guidé ta jambé. C’est le seigneur qui a dicté ton aventure.
JESUS : Si tu l’dit l’ami. Mais que buvez-vous ?
JUDAS : De l’eau
MATTIEU : Point de breuvage opportun ne doit entraver ma route.
JESUS : Gadio, apportes donc une pissée d’eau et une grande versée de pissolu.
JUDAS : De la Pissolu ? Qu’est-ce donc, malotru ?
JESUS : En désires-tu ?
JUDAS : Je ne souhaites point de cette liqueur ingrate.
JESUS : Certes, si tu ne souhaites point, alors ne parles plus.
MATTIEU : Revenons à nos moutons, tels ceux entourant Jésus à sa naissance
JESUS : Jésus ?
MATTIEU : Oui, dans une étable, ta naissance s’est prophérée.
Jesus buvant son breuvage et Judas faisant de même se regardèrent.
JESUS : As-tu argent, mon bon ?
JUDAS : Point ! As-tu, toi ?
JESUS : Non,...

Jésus et Judas finirent leur breuvage et s’enfuirent en cavalant vers la porte de l’auberge, l’ouvrir, en sortir et partir sans s’arrêter. Ils avaient abandonné St-Mattieu.

JUDAS (essoufflé) : Arrêtes de courir, la faiblesse m’envahie !
JESUS : D’accord mon ami, arrêtons-nous. De plus, la nuit approche. Dormons ici à la belle étoile.
JUDAS : Oui, nous reprendrons notre jambé vers Jérusalem demain.
JESUS : Bonne nuit mon brave !

Ils se couchèrent et s’endormirent
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyJeu 20 Oct à 20:02

CHAPITRE CINQUIEME :
Comment De la Redinguonde apparut et comment la folie envahit Jésus et Judas.

Alors que la paisible nuité étée installée... Un bruit intrigua Jésus

JESUS : Qu’est-ce donc que ce bruitage insomnolant ?
JUDAS : ZZZZZZZZ...
JESUS (dans sa tête) : Je me hâtes découvrir cette intrigue mystérieuse.
Sur la hâtation de Jésus, un être corné se présenta.
HOMME CORNE : Enfer, tu visiteras, mais paradis tu ne trouveras.
JESUS : AHAH ! Ce n’est qu diableries, que la divinité divine triomphe des diableries diablesques.
HUBERT : Je me nommes Hubert De la Redinguonde, et enfin, ma quête arrive à terme, puisque, ta destiné, j’ai rencontré.
JESUS : Que dis-tu ?
HUBERT : Je suis comme toi, ton destin est de faire le bien, tu es le fils de Dieu. Le mien, fils de Satan, est de faire le mal. Déjà, éloigné de Joseph, j’ai fait de toi.
JESUS : Comment?!
HUBERT : Comme tu as le pouvoir de faire le bien, moi j’ai celui de faire le mal : j’ai alors emplie ton être de haine face à Joseph et tu l’as frappé. Plus jamais il ne t’aimeras.
JESUS : Et alors ? J’m’en fous de Joseph !
HUBERT : Je vois que tu n’as rien compris, cela m’arrange.
JESUS : Cela t’arrange pour quoi ?
HUBERT : Pour faire le mal, pour que ta destiné divine ne soit point !
JESUS : Je m’en fou, fais ce que tu veux !
HUBERT : Tu n’es qu’assemblage d’ignorances cutanées, ne pouvant s’éteindre.
JESUS (criant) : JUDAS !
Sous l’intense force du cri de Jésus, Judas accouru sans prétexte apparent.
JUDAS : Qu’est-ce ? Pourquoi sous l’éveil es-tu ?
JESUS : Vé, un vieux fou comme toi.
Hubert avait disparut
JUDAS : Où ? Moi un fou ? Quel est ce jugement ?
JESUS : Oui, un fou ! Là ! Le même que toi, mais avec des cornes !
JUDAS : La folie s’est emparée de ton âme. Te guérir, il me faut. Car la folie engendre la folie.
JESUS : Plus fou que toi ne peut exister.
JUDAS : Emboîtes ma jambé, et vers un village, hâtons-nous !
JESUS : Certes, je vois que tu ne me croit point, alors jambons vers un village, le jour se lève.

Jésus et Judas jambèrent vers un village en laissant Hubert pommé, tout seul derrière un sapin, où il se cachait de Judas
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyDim 23 Oct à 18:32

CHAPITRE SIXIEME :
Comment Jésus et Judas rencontrèrent François et comment de folie, ils parlèrent.

Arrivés dans le village, les deux compères s’appercevèrent que celui-ci était fort grand, c’était en fait une immense cité.
JESUS : Où sommes-nous ? Pommé nous sommes ?
JUDAS : A Tirsaline, je crois.
JESUS : Oh le fou ! Tirsaline, c’est au Maroc ! On est où ?
JUDAS : Je sais pas, alos ! C’est toi le fou !
JESUS : Ta race ! Arrêttons nos folies !
JUDAS : Mais personne n’est fou !
JESUS : Vers un foukanalyste, je dois t’emmener, ô Judas.
Un homme s’approcha d’eux.
HOMME INCONNU : De folie, je vous entends parler! Quelle joie ! Moi-même, je suis fou. Mon nom est François-Hubert-Marie-Henry De la constance miséricordieuse inconstante. Appelez-moi François !
JUDAS : Ce fou !
JESUS : Spécialiste de la folie folle, tu es ?
FRANCOIS : Hélas, oui ! Mes folies sont telles que j’émet des sons incongrues de par les sillons du ciel.
JUDAS : Telles folies sont-elles probables ? Tu es un saltinbanque doté de pollution objective.
JESUS : Ta gueule fou de Judas ! Certes, cet homme est barbu et pommé de son esprit, mais sa pensé est pure.
FRANCOIS : Ne te compliques pas les choses. Ne rends pas oblique ce qui est vertical. Agir de la sorte engendre la pensé diverse insurgée.
JUDAS : Que dis-tu barbu ? Montes sur la potence, celle-ci jugera de ta folie.
JESUS : Tu es plus fou que nous, Judas. C’est pour ce fait que tu ne comprends que trop peu ces propos inertes et dépourvus de subjectivités.
JUDAS : Aussi fou que Jésus es-tu, François ? Ce bougre de Jésus ne croit point en Dieu.
FRANCOIS : AHIH ! Moi aussi, Dieu n’est point, il est pas Dieu car s’il le serait, il existerait, mais son inexistence fait exister le fait qu’il n’existe pas.
JUDAS : Vieux fou !
JESUS : Tu es le plus fou, Judas ! Bon, reprenons route. Au revoir, François.

Les deux potes reprirent leur promenade dans la cité. Mais François restait derrière à emboîter leurs jambés.

JESUS : Que fais-tu fou ?
JUDAS : T’as vu, c’est un mongol !!
FRANCOIS : Je vous suis ! Vous êtes gentils alors je suis votre jambé.
JUDAS : Pire que fou !
JESUS : Mongols as-tu dis ? Du peuple Mongol ? Je ne savais point qu’il y avait un peuple de François.
JUDAS : Ne te fais point plus fou que tu ne l’es déjà ! Ma folie n’est point.
FRANCOIS : (d’une parole trisomique) AHIH !Arréttez ! J’ai mal à ma tête !
JUDAS : Que tes paroles ne soient plus ! Jésus, notre quête, nous devons mener ! Avec ou sans folie.
JESUS : Ta parole est sagesse, ô mon Judas ! François peut-il nous tenir animation ? Grand savoir, il a, et peut nous transmettre.
JUDAS : Grand savoir ?! Qu’est-ce donc que le savoir pour toi, ô Jésus ?
JESUS : Cet homme a vécu, regardes, il est usé. Sa tête est doté de fissures, et ses rides sont exaltants.
FRANCOIS : AHIAHI ! AHIAHI !
Reprenons route, et vite !
JUDAS : Soit.
FRANCOIS : Mais avant, l’espace réglementaire est de mise, étroite se fait ma vessie.
JESUS : Euh...Que veux-tu dire ?
FRANCOIS : AHIH ! J’veux pisser !
JUDAS : T’es vraiment un ignare, Jésus !
JESUS : Allons-y
Les trois compagnons de chemin allèrent se vider dans un espace réglementaire public. Jésus se cala à côté de François.
FRANCOIS : Oh ! L’espace ! Aucun respect pour la zone d’éclaboussure. Ecartes-toi donc, que mon vêtement ne soit point souillé par ton liquide
JESUS : Mille excuses.
FRANCOIS : AHIH !
Jésus se décala comme lui indiquait François, avec ses bras ballants. Et ils se vidèrent en conservant l’espace et sortirent de ces toilettes publics.
JUDAS : Où va-t-on, maintenant ?
JESUS : Ben à Jérusalem !
FRANCOIS : AHIH ! Vous allez à Jérusalem ?
JESUS : Oui, en route !
JUDAS : Sortons d’abord de cette ville !
Les trois amis jambèrent hors de la ville et se retrouvèrent à nouveau face au désert.
JESUS : La route est encore longue mon bon Judas, je crois que la ville se trouve de l’autre côté du désert !
JUDAS : Je le crois aussi.
FRANCOIS : Ah bon ! Vous êtes fou ?!!
JESUS : Ta gueule , allons-y !
FRANCOIS : Bon, d’accord.
JUDAS : On est des aventuriers maintenant.

Ils entamèrent alors une nouvelle marche dans le désert, tout en jambés constantes. Malgré une difficulté apparente de la part de François.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyJeu 27 Oct à 20:38

CHAPITRE SEPTIEME :
Comment Jésus, Judas et François rencontrèrent Marie-Madeleine, et comment la séparation eu lieu.


Dans le désert aride de ce beau pays, Jésus, Judas et François avançaient à grandes jambés. Ils arrivèrent dans une petite cité en ruine, mais très habitée (par des nomades).

JESUS (s’approchant d’une femme) : Ô dame du désert, peux-tu guider ma jambé ?
FEMME INCONNUE : Mais où vas-tu, homme barbu ?
JESUS : A Jérusalem, avec mes deux compagnons
JUDAS : Salut
FRANCOIS : AHIH !
FEMME INCONNUE : Je peux vous aider, allez au sud et la ville sera.
JESUS : Te moques-tu de nous ?! Nous venons du sud, Jérusalem n’y est point !
FRANCOIS : Si !
JESUS : Ta gueule !
JUDAS : Sommes-nous si opportuns que cela pour ne point se présenter ?
JESUS : Tu as raison Judas ! Mon nom est Jésus, le sien Judas et voici François, notre dernier compagnon de jambé.
MARIE-MADELEINE : : Je me prénomme Marie-Madeleine ! Et de surcroît, je te confie que le sud est ta destiné, si vers Jérusalem, ta quête se trouve.
JUDAS : Certes, mais que donc le ciel a-t-il dicté, en ce lieu ? Une quelconque hostilité ?
MARIE-MADELEINE : Hélas mon brave, les croisés sont passés par ce lieu.
FRANCOIS : Les croisés ! AHIH !
JESUS : Ta gueule le fou ! Quel malheur est-ce ? (Pointant du doigt un groupe d’hommes) Ces hommes sont-ils tes compagnons ?
MARIE-MADELEINE : Non, point ne suis-je nomade. Cette cité était mienne.
JUDAS : Ben, vu qu’elle est sec et détruite, peux-tu nous guider vers Jérusalem ?
JESUS : Bonne idée !
MARIE-MADELEINE : Oui, je le peux. Je serais désormais votre compagne. Je serais à votre disposition, mais ne m’endommagez pas !
FRANCOIS : Endommager ! AHIH !
JESUS : Ne t’inquiète point, nous serons délicats.
MARIE-MADELEINE : Merci, quand prenons-nous jambé ?
JUDAS : Mais, dès lors !
MARIE-MADELEINE ( avec une tristesse apparente) : Mais,...
JESUS : Cette inquiétude,...Expliques-toi Marie !
MARIE-MADELEINE : Ce village est mien, et Caire, le grand sage s’est fait substituer à son habitat.
FRANCOIS : AHIH! Enlevé ! Malheur ! AHIH !
JUDAS : Les croisés ?!
MARIE-MADELEINE : Je ne peut pas le dire car ma pensé est distante.
JESUS : Ta requête sera notre, Marie !
MARIE-MADELEINE : Merci de votre compassion. Mais point n’ai-je d’indices sur le lieu où il a été mené.
JESUS : Jérusalem est grande citée, làs-bas, renseignements nous pourront récolter.
JUDAS : Et si nous ne trouvons rien, nous irons voir dans d’autres cités. Au moins quelqu’un doit être en mesure de nous aider, je le pense.
MARIE-MADELEINE : Votre bonté est bonne.
FRANCOIS : Bonté bonne ! AHIH ! Ce que tu dis est vrai, nous emmènerons toi sur la route où tu nous conduiras. Jambons, allez en route ! AHIH!
JESUS : Attends , le fou ! Demandons d’abord à ce groupe d’hommes . Renseignement, ils ont suremment.
JUDAS : Que le seigneur nous aide.
Se dirigeant vers les hommes, François perdit sa chaussé.
JESUS (s’adressant aux hommes) : Avé, ô braves gens que la dignité envahit !
UN HOMME : Avé, ô étrangé ! Qui es-tu ?
JESUS : Je suis Jésus et je cherche Caire, le grand sage ! Avez-vous quelques indices liés à sa substitution, plus qu’incongrue.
HUGHES : Je suis Hughes, le chef de cette tribu ! T’aider je voudrais, c’est pourquoi il se dit que les croisés errent et substituent pour apeurer les gens.
JUDAS : Et où ces croisés sont-ils ?
HUGHES : Vers le sud, leurs chevauchés chevalesques se sont dirigées.
MARIE-MADELEINE : Merci, bon Hughes, mais va donc te raffraichir, tu sue.
FRANCOIS : AHIH ! Hughes, il sue ! AHIH!
JESUS : Cela est fort bien car, nous nous rendons au sud.
MARIE-MADELEINE : Oui, c’est exact. Ma jambé guidera vos chaussés vers Jérusalem mais en ce lieu, votre aide me sera besoin.
JUDAS : Tu es si belle et sage, Marie-Madeleine !
JESUS : Ta race Judas ! Elle est pour moi !
FRANCOIS : AHIH ! Jésus et Judas en colère !
MARIE-MADELEINE : Choisir ! Point de bon sens, possédez-vous point d’adhérence sensitive. Je ne suis qu’une femme usée et ce choix est difficile.
JESUS : Moi, je voudrais faire de toi ma compagne intime, ô Marie-Mad !
JUDAS : Casses-toi, sale traître !
JESUS : Ta race, toi ! Casses-toi si t’as pas la joie !
JUDAS : D’accord ! Connard !
Et Judas partit seul au Nord
FRANCOIS : Judas partit ! AHIH !
JESUS : Plus qu’un fou désormais, en route !

Et les trois compagnons prirent jambés au sud en laissant Judas dans son aventure nordique, Francois avec toujours autant de mal.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptySam 29 Oct à 14:13

CHAPITRE HUITIEME :
Comment Jésus, Marie-Madeleine et François arrivèrent à l’encontre de soldats, et comment Jésus fit prisonnier.


Marie-Madeleine, Jésus et François, dans leur aventure vers le sud, tombèrent né à né avec un groupe soldatesque, maintenant Caire dans une cage.

JESUS : Oh! Sacrilège ! Enfermer ce vieux dans une cageolle, la soldaterie des croisés est-elle endommagée au point d’enfermer homme comme animaux ?
MARIE-MADELEINE : Ce brave homme, c’est Caire !
FRANCOIS (d’un air effrayé) : AHIH ! Caire c’est un animal !
JESUS : Ta gueule ! Marie-Mad, allons discutailler avec la soldaterie.

Jesus et Marie-Madeleine s’avançaient vers un semblant de chef.
François restait à l’écart, faute à son incompréhension de la décision prise.


JESUS : Salutation soldat ! Mon nom est Jésus et voici Marie-Madeleine
SEMBLANT DE CHEF : Mon nom est Polimus Aticulus ! Quel est l’implicite de ta présentation ?
JESUS : Ma pensé chemanesque s’est dérobée, et donc notre jambé évolue dans l’inconnu.
POLIMUS : Ah ! Mais, vers où comptes-tu aller ?
MARIE-MADELEINE : Jérusalem ! Mais qui est ce vieil usé qui se situe dans la cage ? N’est-ce pas Caire, le sage ?
POLIMUS : Oui, c’est un chenapan, il a essayé de tuer un de nos soldats.
JESUS : Vous avez fissuré son village, voila pourquoi ! (criant) Bande de fou !
POLIMUS : Hérétique de la soldaterie ! Tu seras fais prisonnier !
MARIE-MADELEINE : Bon, alors ciao Jésus.
JESUS : Ouai, au revoir

Polimus saisit Jésus et le cala dans une cage, Marie-Madeleine et François partirent. Caire était aux côté de Jésus.

CAIRE : Qui es-tu, barbu ?
JESUS : Jésus, toi tu es Caire. Où ces croisés vont-ils nous mener ?
CAIRE : En Grande-Bretagne, chez Pendragon, où nous serons mis dans les geôles de Camelot.
JESUS : Miséricorde !
CAIRE : Mais d’où ma personne est entrée dans ta conscience ?
JESUS : Mon destin a croisé ton village et Marie-Madeleine, m’a conté ton malheur. Je me suis alors joint à sa quête.

La lune et la nuit s’étant dévoilées, Jésus et Caire s’endormirent. Jésus songeait à Marie-Madeleine et à sa fissure potentielle. Il pensait à la façon de ne pas l’endommager.

Arrivés sur les côtes du continent pour traverser, par embarcation futile, la Machénnanéum afin d’arriver en pays d’Angleterre.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyMar 1 Nov à 22:24

ACTE II

CHAPITRE NEUVIEME :
Comment Jésus et Caire rencontrèrent Lancelot, et comment il sortirent des cageolles.


Dans leurs cageolles, Jésus et Caire furent hissés à bord d’un navire en route vers la Grande-Bretagne.
Sur le bateau, un homme d’allure chevalesque s’approcha des cageolles.


HOMME INCONNU : Ô prisonniers, de quoi êtes-vous accusés ?
JESUS : D’hérétisme envers la soldaterie, et lui de défense de son village, donc d’outrage à soldat.
HOMME INCONNU : N’importe quoi ! Je vous ferais libérer ! Mon nom est Lancelot, je viens d’Aquitaine et suis chevalier à Camelot. Si vous êtes de bonne foi, je vous ferais juger équitablement.
CAIRE : Vous êtes bon, Lancelot ! Merci de votre compassion .
JESUS : Ton âme est pure et le seigneur l’a vue ! Ta destiné, il te fera bonne ! Mon ancien compagnon malfaisant aurait dit cette formulation.
LANCELOT : Certes, la vérité ne doit point être camouflée. La justice est la vérité. La lueur dans ton incision burlesque m’a aidée à croire en ta sincérité.
CAIRE : Mais, as-tu quelques connaissances opportunes, dans ce royaume que l’on dit “Uni” ?
LANCELOT : Ces anglais sont marots et bourrés de fourberies. Il ne faut point comploter avec ces individus infratulaires. Mais je connais Doug. Il est de bonne âme confiante et fraternelle.
CAIRE : L’Angleterre je ne connais, seul William Wallace du pays d’Ecosse, me semble de grande destiné.
JESUS : Doug ? William Wallace ? Qui donc aller voir ?
LANCELOT : Je vous guiderais d’abord voir le roi, je le connais personnellement et je doit lui porter rapport sur ma quête.
CAIRE : Quelle est cette quête ?
LANCELOT : Le Grâal, le St-Grâal, cette coupe où de Jésus, le sang a été enfouie.
JESUS : Moi-même me nomme Jésus.
LANCELOT : Quel honneur ce doit-être, Joseph, jadis m’a parlé de Jésus, mais hélas sur la croix il a périt et périra.
JESUS : Joseph, dis-tu ? Je connais moi-même un Joseph...
LANCELOT (l’interrompant) : Ce n’est point le même, mort il est, à cette époque, il a gardé seul le secret du Grâal.
CAIRE : Quel étrange mystère.
JESUS : Le roi, as-tu dis ?
LANCELOT : Oui, Arthur Pendragon. Je suis moi-même attaché à sa majesté.
CAIRE : Si ce roi est ton complice, alors sa nature est bonne car ta lumière est étincelante.
JESUS : Alors, jambons vers ce roi, après que tu ais effectué notre détachement et que cette banitence ait accosté.
LANCELOT : Demain, nous jamberons jusqu’à Wallington, puis nous cavalerons jusqu’à Camelot.
JESUS : Soit,... Notre guide destinatif tu es, donc ta jambé, nous devons emboîter.
CAIRE : Je vous suivrais, je suis Caire et suis très intelligent, je suis un sage !
Jaloux ou pas ?
JESUS : Point, je me nommes Jésus tel celui du Graâl et de sa légende !
Jaloux ou pas ?
LANCELOT : Point, je suis Lancelot du lac, le chevalier de la table ronde le plus fort et respecté ! (en aparté) Je couche même avec Gueunièvre, la reine.
Jaloux ou pas ?
JESUS : Point jaloux nous sommes, nos qualités nous avons et envier celles des autres serait trop.
CAIRE : Oui, ma sagesse, la force de Lancelot et les trucs de Jésus nous emmènerons loin. Nous t’aiderons à trouver le Graâl, ô Lancelot !
JESUS : Oui, mais d’abord nous devons sortir des cages.
LANCELOT : Bon, je les fracasse.

Il saisit son épée et fracassa les cageolles, libérant ainsi les deux prisonniers.
La banitence accosta


LANCELOT : La route est libre, partons
JESUS : Que ta jambé est vive et efficace, ô Lancelot ! Celle de Judas été fertile, et celle de Caire est pourrie.
Caire (en aparté) : Ce traître de voyeuriste, comment sait-il cela ? (normal, mais en suffocant) Attendez-moi, ma jambé se fait faible !
LANCELOT : Emboîtez la, et par jambements constants, le muscle de jambation grandira.
JESUS : Ton savoir jambesque est grand, tu as tant à m’apprendre, contes-moi plus...
CAIRE : Ma jambé souffre, les secrets jambesques, point ma sagesse ne connaît.

Ils jambèrent, et jambèrent vers Wallington. Jésus, tout à l’écoute des aventures jambesques de Lancelot, et Caire tout en jambés faibles, respirant en souffrance.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyMar 22 Nov à 20:31

CHAPITRE DIXIEME :
Comment Jésus et ses camarades de jambé prirent contact avec Soja et comment l’histoire du Graâl ils entendirent.


Les 3 grands hommes calèrent leurs jambées vers Wallington.
Arrivés dans la douce cité balnéaire, ils s’arrettèrent sur place, debout, droit et sec, et attendirent. Au bout de 1 heure 27 minutes et 33 secondes, ils reprirent marche vers un bistrot et entrèrent.

LANCELOT : Asseyez-vous mes amis, je paye breuvage ! Ici, un contact pour ma quête. Je dois faire une rencontre.
JESUS : Qui est-il ?
SOJA ( s’approchant de leur tablette) : C’est moi ! Soja du Bitume frolé, Fils de Vinaigre de la Cuisse Retondante.
CAIRE : Salut !
JESUS : Salut !
LANCELOT : Quel donc est le mot de passe
SOJA : Euh...Mot de passe...??
LANCELOT : Bien, tu es donc le passeur de la Vallée Creuse.
JESUS : ...??!
CAIRE : Vallée Creuse as-tu dis ? Ce lieu morbide et intrasec m’a été mis en conscience par le grand sage de l’Anette Poilue, de mon village voisin.
JESUS : Qu’est-ce donc que ce lieu ?
CAIRE : Magie malencontrueuse et satanisteries règnent en ce lieu. Sauf quête ultime, il ne faut point caler une jambé en ce lieu.
LANCELOT : Ne dis point de sottises, la terreur n’est qu’inconscientes fabulations.
SOJA : Votre inquiétude est inquiète, les inquiets, mais...
JESUS : (L’interrompant) : Ce fou ! On dirait François ! Même Judas !

Un homme avec une capuche était derrière eux


CAPUCHE (en aparté, après avoir entendu ces mots) : Jésus, il est là ?! Ce traître d’enfoiré ! Il ne faut point qu’il me voit, mais je le suivrais en camouflant ma personne.
SOJA ( reprenant) : HumHum...! mais votre inquiétude n’est pas fondée. Par la mer, nous contournerons la vallée et à Camelot, nous nous rendrons cash !
CAIRE : C’te technique !
LANCELOT : Quelle vigueur d’esprit ! As-tu aussi les infos que je t’ais mendié ?
SOJA : Oui, le graâl a été aperçu en un lieu. On dit que Perceval l’a vu, mais il sait plus où c’était, il connaît pas la route !
CAIRE : Le Graâl ! Marie José Joseph ! Le Graâl, le Saint Graâl ! Mes visions sont angéliques, il nous faut nous hâter, la menace règne et l’ineptie de la cachette est improbable. Si le malin le trouve, l’Apocalypsusum décrit par Saint Henry Féconde, fera rage !
LANCELOT : Tes visions sont-elles admissibles ?
JESUS : Ne doutes point du vieux; Lancelot. Il est certes d’une faible jambé, mais il respire toujours.
LANCELOT : De toutes façons, Perceval est un sous-doué. Jamais le Graâl ne sera retrouvé par lui; Nous sommes encore à la case départ et l’on ne touche pas au but.
CAIRE : Mes visions montrent qu’un jeune chevalier le trouvera et en le saisissant, il mourra.
LANCELOT : Malheur ! Es-tu certains de cette allégrente certitude ?!
CAIRE : Oui, ais confiance !
JESUS : Moi, je crois en ton inopinente vision.
LANCELOT : Quel malheur !!! Que mon fils ne soit point ce malheureux qui périra.
JESUS : Ce Lancelot n’est-il point doté d’un cerveau ?
CAIRE : Je commence à douter, mais l’apeurer, il ne faut point
LANCELOT : Quel est ce bachotage soudain ? Point de cachoteries tant que nos destins sont liés.
SOJA : Hâtons-nous, avant que loup ne guette et que lueur ne soit plus.
LANCELOT : ????!!!
JESUS : ????!!!
CAIRE : Que ton proverbe est immense, ces malotrus ne comprennent que trop peu les choses sensorielles de l’universalité.
Le capuché ouiait toujours.
CAPUCHE (en aparté) : Impec s’t’histoire. Dès que je pourrait, je me débarrasserais de Jésus !! Je lui ferais saisir le graâl, et la mort il trouvera, comme le prédit le sage. Ensuite, elle sera à moi !!! AHAHAH !! (rires malfaisants)
SOJA ( Fou) : Le bateau ! AHAAAAAA !!! Va partir !! Le bateau !!
LANCELOT : Calmes-toi ! A quelle heure est-il ?
SOJA : A l’heure qu’il était hier à la même heure, moins une minute !
CAIRE : J’ai compris, on l’a raté !
SOJA (toujours fou) : Oui !! Oui !! Oui !! Raté !! Le bateau !!
JESUS : Mais ta gueule, tu connais le bitume car frôlé, tu as fait au bitume alors, dans la vallée creuse, tu guideras notre jambé sur le bitume.
SOJA (se calmant) : OK ! Nous irons là bas !
CAIRE : Point de bitume dans la vallée, il n’y a. Personne n’en ai revenu, sauf une chèvre boiteuse. Mais, hâtons-nous, embîtez ma jambé.
JESUS (rigolant comme un enculé) : AHAHAH ! On n’y est pas encore alors, emboîtez celle de Soja le guide.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyVen 25 Nov à 19:15

CHAPITRE ONZIEME :
Comment Jésus et les autres vécurent des aventures dans la vallée creuse, et comment la sandale de Jésus fie foi.


Les quatre compères, suivis du capuché mystère, jambèrent vers la vallée creuse. Il s’y introduirent en frissonnant.


CAIRE : Ce lieu n’est point chatoyant, la froideur et l’obscurisme sont omniprésent.
JESUS : Oh ! Que de paroles exactes !
LANCELOT : Oui, hélas !
SOJA : AHIH ! ...
JESUS (L’interrompant) : Oh ! François !
SOJA (énervé) : Oh ! Malotru ! Ne m’indigne point d’une sorte telle que celle là ! Au bout de la vallée, le roi des démons, se trouve : Chabranigoudou squatte dans une bâtisse obscure !
CAIRE : Oh ! D’ où de telles techniques de connaissances as-tu acquis ?! Ce démon va nous ouvrir ? Existe-t-il vraiment ?
LANCELOT : Je protégerais mes amis ! N’ayez crainte !
CAIRE : J’ai foi en toi mon Lancelot, mais point armes obsolètes telles que ton épée garnie, ne peuvent fourrer Chabranigoudou.
JESUS : Seules les forces intrasèques peuvent lutter.
LANCELOT : Point de fouthèses ne doivent subsister. L’épée est le prolongement de l’âme du guerrier.
SOJA : Tu as raison, Lancelot, rien de telle qu’une bonne fissure, pour ouvrir un infâme traitre.
CAIRE : Tes paroles sont vigoureuses, mais spontanées et, par lévitation, point réfléchies.
SOJA : Arthur, Merlin : eux peuvent battre Chabranigoudou, avec la magie et Excalibur.
LANCELOT : Exact !

Le capuché était camouflé derrière une roche ambrée.


CAPUCHE (en aparté) : Interréssant (rires malfaisants) AHAHAHA !

Les quatre et un hommes jambèrent à travers la vallée. Des chauves souris, mini-dragons et les griffons ainsi que des criquet de la vallée leurs menaient attaques, mais Lancelot les protégait. Ils arrivèrent au milieu du canyon, puis ils firent halte pour se reposer.

LANCELOT : Reposons-nous !
JESUS : Cette caillasse me semble propice au soutient de notre faiblesse.
SOJA : Oh oui, asseyons-nous sur cette caillasse !

Soja s’assit sur la caillasse et par le truchement de l’incongrue, disparut dans les entrailles du futile.

CAIRE : Diableries ! Il ne faut point faire halte dans cet inculte lieu
LANCELOT (criant) : Soja !!!! (criant de plus bel) M’entends-tu ?? J’arrive !!
JESUS : Malheureux ! Tu ne peux point, sa vie s’est achevée, la fatalité est telle, que même les individus sans prétention en finissent un jour.
CAIRE : Ackbé lafundia omnimum plafum michtalem dufundga immus !
Que la vie ne t’oublie point et que St-Pierre t’ouvre la porte du Saint Lieu.
Ankalium vaillanus ! El triompha di vaillance um technicius !
JESUS : Que la vaillance triomphe de la technique, et que ton âme soit belle.
CAIRE : Oh, Jésus ! Tu connais la langue que j’ai parlé : la Langum Vivatem ?
JESUS : En effet, je ne sais point d’où j’ai acquis ce savoir !
LANCELOT : Laissons Soja mourir dans d’atroces souffrances, continuons !

Ils continuèrent route et arrivèrent au fond de la vallée, il y avait là une bâtisse. Une tétra-
créature était debout devant, elle mesurait plus de 8 mètres.


CAIRE CHHAAABRAANIGOUDOU !
JESUS (frissonnant) : c’est...c’est lui !
LANCELOT : Le voila !
CAIRE : On compte sur toi, Lancelot !
LANCELOT (criant) : Courons, fuyons !
JESUS : Connard de faible, protèges nous !
LANCELOT : Traître ! Fuis, car la résistance n’est que dans les paroles
JESUS : Tu es donc faible, mais la vaillance me guide ! Je vais faire face !
CAIRE : Seule la vaillance de l’esprit est redondante sur la capacité d’affaiblissement de ce démon.
JESUS : Lancelot, cumules ton esprit avec le mien !
CAIRE (cherchant Lancelot) : Vas y, Lancelot !

Lancelot, caché dans une broussaille avait les mains sur la tête et n’en avait que faire.
Le capuché observait la situation et avait un sourire joyeux.
Tout à coup, deux lances jaillirent de nulle part et s’enfilèrent dans le roi démon. Jésus prit sa sandale et la jeta sur lui aussi.
Le roi démon était affaibli.


CHABRANIGOUDOU (criant d’un aire déchiré et de souffrances extrêmes) : AHAAAA ! Enfoirés, on se reverra ! Peut-être !

Il alla derrière la bâtisse, sortit un vélo et s’enfui à fond.

JESUS : Je l’ai battu ! Mais, d’où viennent ces lances ?
HOMME INCONNU (s’approchant) : De moi !
HOMME INCONNU 2 (s’approchant aussi) : Et de moi ! Mais où est Lancelot ? On m’avait transmit fait de sa présence !
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyVen 2 Déc à 22:03

CHAPITRE DOUZIEME :
Comment la connaissance de Gauvain et Arthur fut effective pour Jésus et comment bailloné et volé, il fut.


JESUS : Oh quelle bravoure ! Votre sauvetage nous a sauvé, mais ma sandale vous a aussi aidé. Puis-je vous présenter une demande sur la nommation de vos noms ?
ARTHUR : Mon nom est Pendragon Arthur
JESUS : Ah, ce vieux nom !
GAUVAIN : Moi, c’est Gauvain, le neveu du roi
JESUS : AHAH !! Pire qu’usé ce nom ! Le neveu du roi ! Il parait qu’il est grand homme, j’aimerais le rencontrer.
ARTHUR : Vous êtes très humoristique
LANCELOT : En effet !
JESUS : Pourquoi ?! Bon, peu importe, nous allons à Camelot lui rendre visite. Hâtons-nous !
GAUVAIN : Nous vous accompagnons avec mon oncle, en route.
JESUS (se tournant vers Arthur) : Vous êtes le frère du roi ?!
CAIRE : Vieil opportun de la soudure du ménisque !
JESUS : Mais, Caire!.. Qu’est-ce donc ! (en aparté) Je crois qu’il se passe un truc !...
LANCELOT : Hâtons-nous dans ta demeure, ô mon roi !
GAUVAIN : La santé de notre roi se fait faible. La sécheresse de son discours au peuple l’a gagné.
JESUS : Il était sec ?
CAIRE : La résistance au préssiomètre n’est que partielle, et autrui te fait succomber à la sécheresse.
ARTHUR : Que néni, ma santé est fertile, et mon âme, vaillante restera à même à Jésus notre père et Marie sa mère.
JESUS : Moi-même me nommes Jésus, et arrêtes de t’incrustes dans le complot de la santé du roi !
ARTHUR : Mais sue dis-tu, je suis ...
JESUS (l’interrompant) : Oui, peut-être es-tu son frère, car tu es aussi oncle à Gauvain, mais point cela t’attributs la même santé que lui. Nous tapons une discute sur la santé du roi et non de son frère !
TOUS ENSEMBLE (sauf Jésus) : Abruti ! Tu comprends rien !
JESUS : Oh ! Vous m’indignez, le malin vous empreigne de sa volonté !
GAUVAIN : Laissons Jésus à ses futiles exaspérations fabuleuses, n’évoquons plus le roi dans nos dires.
JESUS : Ne tente point de m’exclure du complot. Je sens ta jalousie intense et grandissante. Hubert avait raison.
CAIRE : Hubert ? Qui est cet ignare digne d’une redinguonde cuite ?
JESUS : Jaloux de mon pote Hubert ?
CAIRE : Point !!! (quelque peu géné) un peu quand même.
LANCELOT : Quel est donc ce malheur qui vous guette? Depuis que vous complotez, on est droit et sec car on a pas de but précis !
CAIRE : Certes, arrêtons ce complot duquel vous êtes exclus.
GAUVAIN : Jaloux d’mon complot solitaire ?!
ARTHUR : Je vous ordonne l’accalmacie !
JESUS (voyant tout le monde se figer) : Ah ! Vous l’obéissez ! Oh ! C’est pas le roi, tuez-vous !
LANCELOT : Ne parlons plus de cela et prenons route. Que Jésus guide nos pas !
JESUS : Je ne connais point la route à suivre.
LANCELOT : Pas toi !!! Jésus Christ, pas un simple usé comme toi ! Le Christ dont tu sembles ignorer l’existence.
ARTHUR : Lancelot, point ne parles ! Le dialogue ne sert à rien. Le cerveau de cet homme est touché.
JESUS (énervé) : Ta race ! Sale pute d’Arthur !
GAUVAIN ET LANCELOT : Indignations !!!

Ils se jetèrent sur Jésus, le ligotèrent, lui bandèrent la bouche et le hissèrent sur un destrier. Arthur monta sur le second.

CAIRE : Bande d’animaux incongrues, liés par l’incrédulité de la vie.
GAUVAIN : Mon respect pour toi est profond, ô Caire, mais point l’âme guerrière tu ne possèdes.
LANCELOT : Car toi tu la possèdes, Gauvain ? Ne répond point et marchons prestement vers Camelott
JESUS : Humm... Humm......Humm...
CAIRE : Débandons-le !
ARTHUR : Point de sacrilège tels que celui-ci ne peut être réalisé.
CAIRE : Ma connaissance est enfouie dans mon amitié avec Jésus, et bien que son esprit soit doté d’une exaltante étroiture, sa voix guide ma pensé vers la vérité.
LANCELOT : Je ne sais guère, que dis-tu, ô Gauvain ?
GAUVAIN : Libérons-le à moitié, sa gueule doit rester close.

Il se retourna vers le destrier et Jésus avait disparu.

TOUS ENSEMBLE : Mais où est-il ?!
Un homme, le capuché, avait volé Jésus au groupe. Il se cachait dans un gros buisson et avait assommé Jésus.
CAPUCHE : Maintenant, tu vas subir, sale traître !
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyLun 5 Déc à 22:28

CHAPITRE TREIZIEME :
Comment Jésus et le capuché se calèrent un cassoulet, et comment le dont du capuché fut exaltant.


Jésus était dans les bras du capuché et dans l’incapacité constante de proliférer quelques ripostes que ce soient.
Le voleur de Jésus le débaillona , une fois caché dans le touffu buisson.


JESUS : Traître de capuché ! Démasques-toi donc, que ta tête soit en ma visibilité accrue !
CAPUCHE : Le secret est d’une pureté telle que le ciel saint ne peut guider ma main à ma capuche pour que mon visage s’introduise en ta conscience.
JESUS : Folie ! Folie ! Et pure folie ! Mes compères ne sont pas dupes, et ce buisson au beau milieux de la prairie ne fait qu’une cachette illusoire.

Les compagnons de Jésus partirent, ne le trouvant pas. Pourtant, il n’existait qu’une unique cache : le buisson.

CAPUCHE (riant) : AH ! AH ! AH ! Quel bande d’idiots, ils s’en foutent de ta gueule !
JESUS : Ils vont chercher des renforts, c’est tout !
CAPUCHE : Vas-y ! Fusilles-toi ! Nous serons déjà en une contrée lointaine. Je dois t’emmener au pays de Galles, ta destinée te sera présentée en un lieu saint.
JESUS : Fou de la folie intense ! Le destin, je ne m’y intéresse point !
CAPUCHE : Mon ventre émet quelques bruits, il me faut me faire cuire un cassoulet !
JESUS : Tu as raison ! Partages, traître !
CAPUCHE : Je compte festoyer seul ! Mon ventre gémis et le cassoulet est pure.
JESUS : Arrêtes de m’trahir ! Moi aussi j’ai faim, mon pote !
CAPUCHE : Haltes là ! Je ne suis point ton pote !
JESUS : Jaloux qu’t’es mon pote ?!
CAPUCHE : Nullement cela ne me jalouse ! N’as-tu point d’amis ?
JESUS : Si, Caire et Lancelot et Marie-Mad et François sont mes potes ! Même Joseph et Judas l’ont été, bien qu’après, leur trahison fut excessive .
CAPUCHE (lachant une larmette) : Cesses-dont, ignare ! Je ne t’ais point trahis, moi !
JESUS : ??!! Euh...non, pas encore, mais un peu quand même. Cales-moi du cassoulet et la trahison ne sera point.
CAPUCHE : Ok ! Tiens !

Ainsi, ils dégustèrent un cassoulet.
Le capuché et Jésus festoyèrent en se calant un cassoulet dans l’ventre.
Les 14 heures devaient approcher et le soleil mater les profondeurs de l’ombre obscure.


JESUS : Oh, que ce cassoulet est impek !
CAPUCHE : Oui, mais le soleil se fait rude ! La hâtation doit se faire à travers forets et bois.
JESUS : Certes, je te suis, ô capuché
CAPUCHE : Heureusement que tu me suis, car tu es mon prisonnier.
JESUS : Si c’est ainsi que tu nommes tes potes, alors j’accepte grandement
CAPUCHE : Ta débilité interne reflète de l’incrédulité de ta personne.
JESUS : Arrêtes donc de me rendre fou ! Judas a déjà essayé, et cela l’a exclu !
CAPUCHE : Mais, Marie-Mad, tu lui as volé !
JESUS : ??!! Hein!?!? ... Comment as-tu connaissance de ces faits ?
CAPUCHE : Euh... Je... Je sais lire dans les pensées ! (en aparté) J’espère que cette mesquinerie mensongère marchera !
JESUS : AH ! Je comprend, quel don formidable...
CAPUCHE (en aparté) : Mais ce fou !!!
JESUS : Comment l’as-tu acquis ?
CAPUCHE : Je l’ais trouvé, un jour où je vagabondais, je le vis par terre et saisit ce don.
JESUS : Mais quel talent !!
CAPUCHE : Ma vista est telle que rien ne m’échappe.
JESUS : Où dont l’as-tu trouvé ? A quoi ceci ressemble ? Cela suscite ma curiosité et l’acquérir, je souhaite.
CAPUCHE : ... Euh... dans ... Euh... Le Wichtigan Grass, c’est au pays de Galles. Et c’est comme... Euh... Un champignon.
JESUS : Montres-moi ce champignon !
CAPUCHE : Au pays de Galles, nous verrons !
JESUS : Hâtons-nous intensément et emboîtes ma jambé.
CAPUCHE : Tu ne sais point où Galles se trouve, emboîtes la mienne.
JESUS : Soit !
CAPUCHE : Allons-y !
JESUS (en aparté) : Que cette jambé me semble connue ! Ce capuché jambe comme je l’ais déjà vu autrefois.
CAPUCHE : Allez ! Emboîtes mieux !

Jésus se cala derrière le capuché et emboîta une jambé similaire vers Galles.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyMar 6 Déc à 23:03

CHAPITRE QUATORZIEME :
Comment Jésus voulu en savoir plus sur le capuché, et comment son don fut mis en doute.


Tout en jambant, Jésus était implicité et ce doute ne cessait en aucun cas. Le cheminement fut plus intense lors de l’ascension sogrenue de la bute intense.

JESUS : Que cette intense bute me met en difficulté !
CAPUCHE : Faibles !
JESUS : Certes, mais tu possèdes une jambé sans encombre et fascéssieuse.
CAPUCHE : Ma jambé t’intrigue-t-elle tant que cela ?

Jésus s’arrêta de jamber et tout en restant droit et sec, regarda un cailloux sans importance. Son regard ne savait point que faire.

CAPUCHE : Qu’as-tu face de chips ?
JESUS : ...”Ma jambé t’intrigues” as-tu dit ? Ces termes, un jour je les ais prononcés.
CAPUCHE : Et alors ?! Tu n’est point le seul !
JESUS : Il n’y a pas que cela ! Toi, tu es...
CAPUCHE (l’interrompant) : Excuses-moi de te couper le langage que tu profères, mais mon don m’apprend tout de ta fébrile personne.
JESUS : C’est vrai ! J’avais oublié.

Jésus rejamba.

JESUS : Contes-moi ton histoire !
CAPUCHE : Mon histoire est noirceur et caliguesques fantasqueries !
JESUS : Contes-moi plus...
CAPUCHE : Euh..Et ben euh... Je ne me souvient que trop peu. La vie m’a fagoffié et l’existence n’a été que peu intense.
JESUS (la larmette à l’oeil) : Ô mon pauvre... Quel est ton nom, au fait ?
CAPUCHE : Arrêtes donc tes inepties démonstratives car les fabulations de tes propos sont trop exaltantes, pour ma personne.
JESUS : Soit ! Mais ta nommé, j’aimerais grandement connaître.
CAPUCHE : Plus tard tu sauras, pour l’instant nous devons jamber vers Galles.
JESUS : Une pause, pouvons-nous effectuer ? Dis moi ton nom !!
CAPUCHE : J’vais t’regoliter, tu vas voir !!
JESUS : AHAAA !! sale usé !! Vas t’fusiller !! C’est religoter, pas regoliter !!
CAPUCHE : Vas-y, ta gueule ! Sale endommagé, viens là, qu’j’te fissure la corde.
Jésus s’avança et le capuché le ligota, et lui bandit yeux et bouche.
CAPUCHE (se moquant) : AHOU ! Jaloux ?!! J’te domine !! Bon, en avant ! Mais, désormais je doit te porter. Tu casses les couilles Jésus.
JESUS : Hum ! Hum ! Hum ! ...
CAPUCHE : Quoi ? Que veux-tu dire ?
JESUS : Hum ! ... Hum ! ...Hum ! ...
CAPUCHE : Oublis ! T’arrivera pas à parler.
JESUS : Hum ! ...

Le capuché enervé lui enleva le bandeau bocale.

JESUS : Ah ! Je t’ais fissure ! Tu mens ! Ma pensé, tu n’as pu lire !!!
CAPUCHE : En quel honneur mets-tu en doute mon don ?!
JESUS : En l’honneur de Jésus !! Et ouiiiiiiiii !!! Jaloux ?!!
CAPUCHE : Comment oses-tu me fissurer ? Ce pouvoir j’ai récolté, et en douter, tu ne peus !
JESUS : C’te fissuration ! C’est identique à une fusillade !
CAPUCHE : (devenant sec devant son endommagement) : Stop ! Je n’ais point voulu lire la pensé d’un abruti de ton calibre. A quoi bon ta pensé aurait-elle un but précis pour moi ?
JESUS (l’air réfléchissant) : Ah ouai !! C’est vrai, ta pt’être pas voulu ! Mais il est où l’abruti ?
CAPUCHE (soufflant enfin) : Voila, tu ne peux donc plus douter !
JESUS : Ben, vas-y à quoi je pense ?

Le ventre de Jésus gronda.

CAPUCHE : A deux choses : Tu penses que je vais penser ce que tu penses en pensant avec mon don et tu penses à manger, à manger du cassoulet. (En aparté) J’ai que ca à manger, j’espère viser juste.
JESUS : Wawwh !! T’es trop fort ! Comment ton nom est ?
CAPUCHE (inventant un nom) : Kiskunfelegyhaza, mais on m’appelle Kisskool !
JESUS : Ok, je t’appellerais Kisskool désormais.
KISSKOOL : D’accord (en aparté) c’t’abrutit ! Kiskunfelegyhaza c’est pas un nom !
Jésus s’assit et attendit d’un air nié.
KISSKOOL : Que fais-tu donc là ?
JESUS : Ben alors, t’attends quoi ?
CAPUCHE (quelque peu pômé) : Je ne saisit point le burlesque mondain de ton esprit. Quelle est donc ta requête ?

Jésus se leva d’un air jouissif et parti à travers bois et forets en criant.

JESUS : Je t’ais refissure, tu ne lit pas dans mes pensés !

Jésus jamba activement vers l’éloignement, tandis que Kisskool ne réagit point et resta pômé, tout seul.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyJeu 15 Déc à 20:44

CHAPITRE QUINZIEME :
Comment Jésus connu un hermitte, et comment sa quête poursuivit.


Jésus toujours encordé de ses pieds à sa taille, il était cependant libre, mais sa brature ne l’était point. Il jambait, jambait, toujours plus loin et au bout de quelques jours sans arrêt, il atteignit une forêt, au sud de l’Ecosse.

JESUS (s’arrêtant enfin) : Ouh ! Je suis fatigué ! Oh putain ! J’ai trop ...
VOIE INCONNUE : N’insultes point, des mots sont mauvais à dire, n’es-tu pas un homme bon, ô Jésus ?!
JESUS (se tournant de tous les côtés) : Mais, qui es-tu ? Où es-tu ?
HERMITTE DE LA FORET : Je suis l’hermitte de la foret de Glasgow Sudiale, je sais tout et connais tout.
JESUS : Quel est ton nom ?
IGOR : Je me nomme Igor de la Racine Brisée, et toi tu te prénomme Jésus !
JESUS : Quel nom saugrenu ! Mais quelle est donc ta cachette ?
IGOR : Point de cachette je n’utilise. Devant toi, ma personne est calée.
JESUS : Mais où ? Je ne vois aucune distinction apparente.

Jésus s’avança, en regardant droit devant et en cherchant Igor.
Soudain, la jambé de Jésus fut fébrile et Jésus vacilla et chuta.


IGOR : Es-tu faible ? Ton regard me semble distant. Tu as heurté ma personne !
JESUS : Mais point !
IGOR : Vois-tu les champignons face à toi ?
JESUS : Oui, bien sur !
IGOR : Donc tu me vois !
JESUS : Quoi ?! T’es un champignon ? T’es lequel ?
IGOR : Mais non, ces champignons poussent sur ma personne, ce que tu vois, c’est ceux formant ma chevelure.
JESUS : Oh, je te perçois, mais tu es en osmose avec la nature. Tu es la nature.
IGOR : Je ne suis que l’hermitte de cette foret, je sais tout et connais tout ce qu’il y a à connaître. Je connais ton histoire.
JESUS : Moi-même ne la connais pas. Je me suis réveillé nue dans la savane.
IGOR : Ta pensé est pure, mais quelque peu faible ! Ma pensé est forte ! Ma sagesse est innée, mais mon savoir est acquis.
JESUS : Toi aussi, tu es un sage ? Tu es aussi un pseudo voyant ?!
IGOR : Le capuché était un imposteur. Point de savoir, son âme ne possède.
JESUS : Tu connais le capuché ??!
IGOR : Tu m’écoute ? Je sais tout ! 80 ans à prendre racine, ça forge une connaissance !
JESUS : 80 piges ?! Le monde connais-tu ?
IGOR : Oui, 3 années ont été passées là bas ! Mais la vie est obscure, et la prolifération méthaplasmique est inerte devant les propos abusifs d’autrui !
JESUS : Ce monologue ! ! Comme tu as l’air doté d’un intellisme flagrant !
IGOR : A qui le dis-tu !
JESUS : A toi !
IGOR (en rigolant comme un enculé) : Tu es bien con, ô Jésus ! Mes pensés ne se trompent jamais !
JESUS : Mais qui est le capuché ?
IGOR : C’est quelqu’un que tu as connu, hélas, le secret professionnel m’empêche de divulguer son identité.
JESUS : Je n’ai connu que Home, Joseph, Judas, l’homme difforme, le marchand, St-Mathieu, Hubert, François, Marie-Madeleine, Hughes, Polimus, Caire, Lancelot, Soja, Chabranigoudou, Arthur, Gauvain, le capuché qui dit s’appeler Kiss-Kool, et toi ! Est-ce toi ?
IGOR : Fusilles-toi !
JESUS : Peu importe, je le saurais. Mais pour l’instant, je veux voir Fridam Sallace, un homme vaillant dont m’a parlé Caire un sage.
IGOR : Fridam Sallace, dis-tu ? C’est un boulanger en Autriche, es-tu fou ? Caire t’as parlé d’un William Wallace, je le sais.
JESUS : P’tain, t’es trop fort !
IGOR : Point de grossièretés !!!
JESUS : Excuses ! Où est cet homme ? C’est le seul que je connaisse sur cette immense île.
IGOR : C’est un homme vaillant, il combat pour son peuple.
JESUS : Ouai, super ! Bon, il est où ? Tu sais tout, alors dis-le ! C’est l’unique nom de personne connue que je connais et désire rencontrer.
IGOR : William Wallace doit être dans sa hutte, avec ses parents.
JESUS : Ses parents ?!
IGOR : Il n’a que 7 années !
JESUS : Fou ! Caire m’a dit qu’il est vaillant , et sauve son peuple !
IGOR : Caire est un devin, tout comme moi ! Et il a vu son destin.
JESUS : Je dois me hâter chez lui, accompagnes ma jambé !
IGOR : Je ne peux point, je dois rester ici, mais vas au nord, sort de la foret, et un village, où l’on te guidera, tu trouveras.

Jésus partit avec vive jambé vers le nord, tandis qu’Igor resta sec, droit et couché, à prendre racine.
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MessageSujet: Re: La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus   La petite histoire jésulaire ou Le petit théatre de Jésus EmptyVen 3 Fév à 19:52

CHAPITRE SEIZIÈME :
Comment Jésus entendu une voie et comment vers Die il se dirigea.


Jésus jambait toujours ficelé. Vers le Nord il allait et tout à coup il vit se dissiper le cordage qui se volatilisa.

JESUS : Hein ?!? Que se passe-t-il ?
VOIE INCONNU VENANT DU CIEL : Que fais-tu abruti ? Pourquoi vas-tu au Nord ?
JESUS : Qui est-ce ? (se tournant sans cesse) Qui êtes-vous ? Je vais voir William Wallace.
VOIE CELESTE : Je suis la voie céleste de Dieu. T’es vraiment con mon fils !! William Wallace c’est un gamin ! Pourquoi tu vas le voir ?
JESUS : Je sais pas ... Ta race toi, je fais ce que je veux !
VOIE CELESTE : Point ce que tu veux, tu ne peux faire ! Tu es aliéné ! Réfléchis donc si ton cerveau est amplifié.
JESUS : Arrettes, vieilles voie ! Tu ne peux point réfléchir, tu es une voie !
VOIE CELESTE ( en aparté) : Je savait qu’il était incrédule, mais là ...
JESUS : Arrettes donc d’apartationner ! Tes cachotteries ne sont point intéressantes.
VOIE CELESTE : Tu ne penses donc point ?!
JESUS : Ne me parles plus, je continue ma route, voie folle !
VOIE CELESTE : Attends !! Vas au Sud ! Vois le chemin et vas rencontrer José et René.

Un cheval et deux fioles apparurent face à Jésus.

VOIE CELESTE : Vois la fiole bleu, elle permettra au cheval de marcher sur l’eau. Vois la fiole jaune, elle décuplera ta vitesse. Ainsi, la manche, tu franchiras rapidement pour aller aux Alpes. La vitesse durera un jour.

Jésus pris les deux fioles, et ... il les vida dans sa gorge sèche et partit à une vitesse décuplée au Sud en laissant le canasson.

VOIE CELESTE : Ce fou de la folie folle ne s’est pas rendu compte de son geste foliement fou.

Jésus arriva sur les côtes de la manche. Un homme s’avança alors vers lui.

JESUS : Oh, le traître !
TRAITRE : Calmes-toi donc, ô Jésus !
Ma trahison à ton égard n’a été qu’éphémère , et t’accompagner à Die, je souhaite.
JESUS : La trahison n’est éphémère seulement pour celui qui trahit. Le trahi n’est pas éphémérite, et donc la trahison perdure dans son esprit.
JOSEPH : Je connais routes et chemins, bois et forêts ! Je peu donc t’enjamber facilement.
JESUS : Dommage! Regardes ...

Jésus alla courir sur l’eau et revint vers Joseph.

JOSEPH : Oh !! Tu es si bon et doué, comment fais-tu ?
JESUS : Secret !

Joseph tenta l’expérience, il couru vers la manche mais coula.


JOSEPH (ressortant trempé) : Je n’ai point la vitesse et ton marché flotale.
Comment ta jambé fait-elle ?
JESUS : Ta race ! J’ai pas le temps, j’ai qu’une journée de vitesse alors laisses-moi en profiter.

Joseph pointa du doigt une direction.

JOSEPH : D’après mes calculs, tu cours à 250 escalopes brisées par tête, suis cette voie que je pointes et dans une demi-journée, même moins, tu seras aux Alpes dioises et là-bas, José et René au courant de ta venu t’attendront. Pour le reste, la trahison passée, je sais qu’Hubert t’as hanté alors c’est pas grave.

Jésus pris jambé, et par une vivacité non éphémère, jamba sur l’eau. L’éclaboussure de l’eau ne fut point. Jésus arriva enfin à la berge de France.
Jésus s’avança vers un pêcheur.


JESUS : Ô, pêcheur de mollusques garnis ! Ta nommé est-elle René ou José ?
PECHEUR : Ô, brave gaillard, je me prénomme Albert ! Albert le pêcheur maritime de la mer.
JESUS : Je suis quelques peu opportun, puisque mon nom je ne t’ais point fait savoir. Ma nommé est Jésus.
ALBERT : Jésus ! Tel celui de l’étable ?!
JESUS : L’étable ? Où est donc Die ? C’est dans les Alpes.
ALBERT : Hâtes-toi au Sud, et les Alpes, tu verras, mais point je ne connais Die.
JESUS : Au revoir, Albert mon pote !

Jésus couru et arriva vers un petit village au bout d’un quart de journée puis, il revint en arrière.

JESUS (courant vers le pêcheur) : J’ai oublié ! T’as pas un poisson à me donner, s’il te plais mon pote ?
ALBERT : Volontier, mais où es-tu allé ?
JESUS : À Die, dans les Alpes !
ALBERT : T’es un comique, Jésus !
JESUS : Je comprend pas pourquoi !

Jésus pris le poisson, et tout en le dégustant, il retourna à Die.
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